Eternellement
Pour moi j’ai ma conscience
C’est elle qui mène la danse
J’emmerde les autres et leur science
Aussi artificielle qu’une voiture sans essence
J’alterne les joies et les peines
Mais domine ma haine
Dans un jardin d’éden
Je cultiverai mon aubaine
La chance que j’ai
A présent, je ne peux plus la dépasser
Je ne peux que régresser
Dans ce monde de gays
L’amour est un fléau
Le sexe sa progéniture
L’amour, aussi beau qu’un oiseau
Ne sera jamais qu’une torture
Comme l’amour, je déploie mes ailes
Pour m’éloigner de cette terre qui, d’apparence, est si belle
Comme un pigeon, je m’écraserai par terre
Mais cela n’est pas grave, la vie n’est qu’un courant d’air